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Les œuvres de Lisa G. sont toujours aussi énigmatiques que pénétrantes ! Drôles ou intellectuelles elles ont toujours cette structure en abîme où chaque niveau de lecture s’ouvre sur un autre :

« Composition rouge et or » un titre on ne peut plus classique pour une nature morte on ne peut plus … Il s’agit d’un vase rouge, de fleurs blanches et d’un ciel d’or. Mais ce titre est-il réellement celui d’une nature morte :

Les fleurs ne dansent-elles pas sous des oiseaux de passage ? Le ciel, lui-même, ne se brise-t-il pas en morceaux ? Ce qui au premier abord semble être une évidence ne l’est pas tant que cela… et d’ailleurs ces fleurs qui dansent, se tortillent et tendent leur cou vers les oiseaux ne sont-elles pas vivantes, voire carnivores ? Et dans un revirement de situation pouvons-nous imaginer que ce titre qui indique vigoureusement le type d’œuvre sans le nommer : « nature morte », n’est qu’un pied de nez de plus pour nous faire réfléchir à ce qu’est en réalité une « Nature Morte ».



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Les œuvres de Daniel Castan font parti de ces incontournables que tout le monde attend… et donc les voilà, ses nouvelles toiles ! Toujours aussi fortes toujours aussi denses, urbaines, en matière comme en profondeur…

Tout l’automne, chaque traversée du village de Megève (enfin presque) a été pour moi l’occasion de côtoyer les aficionados du peintre : « Quand-est-ce que vous rouvrez ? Aurez-vous toujours des toiles de Castan ? J’ai un mur qui n’attend que lui… Je suis ravi du New York que nous vous avions pris l’an dernier ! Nous avons besoin d’un pendant. Aurez-vous des grands formats. »

Et moi pêle-mêle : « décembre ; oui ; un mur ne suffira pas ; plus c’est grand, plus ça a de la gueule ! ; ses œuvres sont toutes belles ! ; j’en ai trop peu pour satisfaire tout le monde… ; grand comment ? Plus grand encore ? ! »

Cela fait quatre ans, peut-être cinq que nous travaillons ensemble, Daniel Castan et moi… et chaque année je m’émerveille de constater cet engouement encore grandissant.

Alors les voilà, les nouvelles toiles de Daniel Castan ! et comme je le dis souvent : « Elles sont là (à la galerie) mais elles ne le resteront pas longtemps ! »

• L’automne est là !

Chers clients, chers visiteurs… chers amis, vous me connaissez désormais depuis bien longtemps pour savoir que le choix d’un vent pour nommer cette galerie n’est pas anodin.

Effectivement je pars baguenauder sur un autre continent une partie de l’automne. Aussi la galerie sera fermée tout le mois d’octobre et une partie de novembre. Si l’Harmattan souffle habituellement sur le Golfe de Guinée, cette fois-ci il dévie sa course pour m’emmener outre atlantique. J’aurai donc le plaisir de vous retrouver dès début décembre à Megève.

Jusqu’à la fin du mois je reste ouvert les week-ends du vendredi au dimanche et suis joignable comme d’habitude par mail et sms tout le reste du temps.

Je vous souhaite un très bel automne !



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Les épaisses touches d’alkyde tout juste vernies, et j’accroche les dernières œuvres de Daniel Castan pour cette fin de saison !

Un couché de soleil flamboyant côtoie un clair obscur étonnant ou le ciel quasi transparent se fond de roses jusqu’aux mauves. La ville n’est plus que prétexte au travail de la couleur et de la matière. Tout juste discerne-t-on des silhouettes de voitures, la réflexion de quelques phares ! Ces deux dernières œuvres marquent certainement la fin de la saison d’été mégevanne, néanmoins quel feu d’artifice !

Avec ces deux nouvelles toiles, à découvrir également deux beaux 80 x 80 cm « Fire » et « Black and White and Yellow » que j’affectionne tout particulièrement!


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