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Le vent de la savane franc-comtoise souffle pour Lise Vurpillot !


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En effet depuis de nombreux mois cette artiste nous offre des fauves de toute beauté. Et en plus du succès rencontré auprès du public, les galeries d’art s’intéressent à son travail. Ainsi elle étend dès ce début d’hiver son rayon d’action à la Belgique et dès le printemps prochain à la Corse… des initiatives qui vont dans le sens de l’internationalisation de sa clientèle ici à Megève. En effet en plus d’une clientèle française friande de ses représentations expressionnistes, Lise a su toucher le coeur de la clientèle de toute l’Europe, mais aussi de la Russie, du Moyen Orient et de l’Asie… Des œuvres gaies et colorée, pleines de vigueur tout en conservant la douceur qui caractérise les regards de ses fauves… des formats de bonne taille pour des prix encore très raisonnables.



L’œuvre de Livio est souvent associée aux Taureaux et pour cause, si leurs noms sont parfois évocateurs ou parfois moins évidents, les toro amoureux, solaire, rosso, livre, enclume ou encore asymétrique… ont toujours inspiré cet artiste.

Il a recherché au fil du temps à interpréter cet animal mythique, le sortant de sa force brute, ou à l’inverse la lui offrant pleinement, imaginant un « Enlèvement d’Europe » ou le faisant « toro bison ». Chacun ayant une âme propre et au plus juste du sentiment que l’artiste cherchait à lui offrir.

La patine lisse et la puissance retenue de ce Toro Rond le font compter parmi ses œuvres qui rencontrent le plus de succès.


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« Immense » et « intime » sont les deux mots antinomiques qui me viennent à l’esprit à l’évocation de cette découverte. A ce moment-là presqu’exclusivement attachée aux portraits, cette peinture m’a touché immédiatement…

Solitudes ou dialogues,

Songes arrêtés,

Combats et mouvements,

Vitesse et silence…

Tous les thèmes abordés par Mérienne sont susceptibles de nous entraîner dans l’introspection, faisant naitre dans l’esprit du spectateur un silence propice à la réflexion et à l’émotion. Ici les regards, faisant manifestement l’objet de tous les soins du peintre, nous emportent, nous invitent à penser comme ceux qui les portent ou à vouloir écrire leur histoire…

Gravité plutôt que tristesse, rêverie plutôt que mélancolie, puissance plutôt que violence, rythmes plutôt que bruit, réserve plutôt que défense…

Nul besoin de grandiloquence, d’artifices, de sujets choquants, le chemin emprunté est volontairement étroit, mais conduit le peintre et son spectateur au dépassement par le regard. Nul besoin non plus de couleur dans cet univers, les sentiments n’en sont que plus forts, plus éternels, et es formes plus pertinentes ; seul un jaune s’invite quelques fois qui vient faire vibrer, souligner, ou calmer un contraste, mais manifeste-t-il une autre intention ?… Créer l’intimité par la monumentalité est une démarche ni courante ni aisée, mais c’est la voie qu’a choisie Mérienne. Il y parvient en sachant susciter l’émotion sans le recours à des codes répandus : La sobriété et la rigueur règne en son monde, l’artiste se concentre sur un sujet qui définira l’espace par sa seule présence, sans indications de dimensions, d’accessoires, d’architecture, de limites de lieu. L’être et le sentiment sont au cœur de sa peinture, sans les petites histoires…

Y. Ravassard (extrait)


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