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Daniel Favre sculpte à l’écart de tout courant artistique depuis une trentaine d’années.

Il sculpte pour lui dans un processus diligent de construction et de déconstruction : il dessine son sujet, l’étudie, lui donne un corps réaliste et académique avant de revenir sur les lignes et d’en effacer les superflues. Du réalisme à l’épure, l’humain se concentre sous ses mains. Par ce travail Daniel Favre parvient à contenir et concentrer dans ses œuvres, des forces, des émotions et des sensations d’une profonde et envoutante douceur!

La sculpture toute en puissance est alors d’une intimité déconcertante, brutale et élégante, douce et vigoureuse…

Il aura fallu trente ans à Daniel Favre pour franchir le pas des galeries et montrer ses sculptures à un public averti. Quelle sensibilité ! …dire que toutes ses sculptures n’avaient été faites que pour son seul regard et son seul esprit alors qu’elles sont du niveau des plus belles représentations d’aujourd’hui !



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Le danois de Tristan Haenzel que je viens de recevoir est à l’honneur ! Cette toile superbe de dimensions 120×100 est resplendissante de force et de contraste. Entre le pelage « arlequin » noir et blanc de l’animal et le contraste avec le fond d’un rouge très dense… la luminosité de cette toile rayonne. Tristan signe une fois de plus une œuvre entre classique et moderne, une peinture qui ne manque pas de caractère, attire le regard, et illumine littéralement un intérieur.



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Jeune artiste diplômée de l’école Emile Cohl, Lise Vurpillot possède de multiples talents : illustratrice pour la littérature jeunesse, dessinatrice et animatrice pour les films d’animation et bien sûr, peintre animalière.

A la frontière du fauvisme et de l’expressionnisme, ses lions, tigres, panthères mais aussi girafes et éléphants traduisent l’univers de Lise. Sa « Savane » se décline en grands formats, travaillés en couleurs, à la brosse et en matière !

Son œuvre est vive, dynamique, lumineuse… Elle utilise les teintes avec audace et maîtrise. En excellente coloriste, elle juxtapose des rouges vifs et des verts tendres, mêle entre eux des bleus, des oranges, des jaunes… sans pour autant rendre ses œuvres violentes ou

agressives, bien au contraire. Dans ses peintures flamboyantes, les couleurs s’assemblent et s’équilibrent pour illuminer les regards des animaux qui, exprimant tantôt la force, tantôt la douceur, sont étonnamment expressifs et vivants, à l’image de l’artiste, lumineuse et pleine de gaité.

Sa peinture, qui connaît un beau succès auprès de public, ornera les murs de la Galerie Harmattan pour la 3ème année.

Elodie Bouffay, « Le Journal de Megève »



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